Petite présentation d'En root‽

En root‽ est une communauté non partisane en rapport avec la démocratie numérique, le logiciel libre et les données ouvertes. Son monde de fonctionnement est nomade, avec des échanges sur un Chat et également des rencontres mensuelles qui permettent de prolonger dans la vie réelle les échanges via internet. L’idée est ainsi de rencontrer des gens intéressés par ces sujets et de mutualiser leur expertise de grande valeur. Plus précisément, En root‽ c’est:

  • Des réunions en mode atelier / co-working dans des lieux différents à chaque fois. Nous cherchons à nous réunir dans des lieux emblématiques : Assemblée, Sénat, Cour des comptes, Bercy, Ministère du travail, Éducation nationale, Dinsic, École d’économie de Paris, Sciences Po, Écoles d’informatique comme 42, Paris open source summit, Rencontres mondiales du logiciel libre, THSF, FOSDEM, réunions en Province, etc.

  • Un format : on est là pour bosser. Par exemple, pour éviter les tours de tables et les présentations interminables; les nouveaux venus sont invités à observer puis à participer progressivement aux projets en cours.

  • Des déjeuners pour se rencontrer et échanger de manière conviviale

  • Un triple thème : démocratie numérique, données publiques et logiciel libre

  • Un chat (basé sur Matrix)

  • Un site (forum Discourse) où sont annoncés nos prochaines réunions ainsi que les comptes rendus des réunions précédentes

  • Pas de structure juridique et personne ne peut parler au nom du collectif.

Pour résumer, En root‽ est juste un regroupement de personnes avec des objectifs parfois différents mais qui parfois travaillent ensemble et parfois s’entraident sur les mêmes projets. Il nous semble important de s’appuyer sur le travail déja réalisé par les autres, dans un esprit de complémentarité et d’alliance fertile avec les projets existants.

Enfin, est c’est un point essentiel, la communauté En root‽ n’est strictement dans aucune logique partisane, en aucun cas dédiée à un parti politique ou un autre. Les enjeux et les outils de la démocratie numérique, et notamment les technologies informatiques libres ou l’ouverture des données ne doivent pas être l’apanage de quelques représentants d’intérêts ou de certains partis politiques. Au contraire, chaque citoyenne et citoyen - surtout en qualité de parlementaire - devrait, dans l’idéal, pouvoir raisonnablement être éclairé sur leurs potentialités mais aussi sur leurs limites.

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